Dans l'urbanisation
d'aujourd'hui, subsiste un espace naturel de 285 ha comportant
boisements, prairies, mares, d'un intérêt
naturaliste exceptionnel, résultat de deux
siècles de gestion privée et de
fréquentation très limitée.
La ligne de chemin de fer,
créée en 1856, le bourg de Malnoue, qui a
gardé sa forme autour du parc de l'Ancien
Monastère, le parc d'Emerainville, devenu Réserve
Naturelle Régionale permettent de comparer avec aujourd'hui.
La ligne de chemin de fer qui remonte vers le nord allait desservir la
ferme du Buisson et la chocolaterie Menier, à Noisiel. Elle
a été créée en 1883.
Le Bois
Saint-Martin fait partie d'un ensemble de boisements comprenant le bois
de Grâce, le bois du Plessis-Saint-Antoine... , qui sont
reliés par des liaisons naturelles et biologiques
à préserver et à conforter, avec la
forêt de Ferrières et la forêt
Notre-Dame. Le Bois Saint-Martin est contigu avec le
bois de Célie (113 ha), le parc du château de
Malnoue, qui comprend le bois de Footel (68 ha). Le bois des Yvris (11,3 ha), partiellement
dégradé - qu'il serait utile de
réhabiliter pour l'usage des habitants -, le continue vers
le nord dans l'urbanisation de Noisy-le-Grand.
Entre le
Bois de Célie et le Bois Saint-Martin, passent le chemin de
Gournay, le chemin des Princes et le chemin du Berdoudou, parties d'un
itinéraire de promenade et de randonnée (G.R. de
Pays) qui permet d'aller de Champs-sur-Marne à la
forêt Notre-Dame, à la Queue-en-Brie.
La partie
sud du Bois Saint-Martin est longée par le chemin rural de
Villiers-sur-Marne à Combault.
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