Retour à la page Dammartin-en-Goële	Dernière mise à jour : 04/06/2022
Dammartin-en-Goële
Quelques images du passé (pour mieux bâtir l'avenir)
	Jadis les moutons paissaient dans les champs  et espace naturels. Cette pratique  reprend un peu pour un entretien des pelouses et prairie avec les "tondeuses -mouton".
	Le belvédère de la motte du château permettait d'observer le panorama depuis un banc, le regard portait loin. Actuellement une clôture et de la végétation gênent la vue depuis ce belvédère.
	Sur la butte était le château, qui passait pour le plus important d'Ile-de-France. Au moyen-âge, Dammartin-en-Goële était un bourg important ceinturé de murailles. Le château a été démantelé en 1612 sur ordre de Richelieu.
	Le tympan du portail de l'église saint Jean-Baptiste à été inscrit sur l'inventaire des monuments historiques  par arrêté du 16 mars 1926, les autres parties de l'édifice avaient en effet été reconstruites au début des années 1900.
	La ferme Sain-Jean se trouvait au centre ville, elle a été remplacée par une mairie annexe et un parking planté d'arbres.
	La gare Lavollée en dessous de la butte du château. Elle possédait une plaque tournante et des annexes pour le transport de marchandises.
	La ligne du "tacot de la Goële"continuait par la Grande Rue, jusqu'à l'église saint Jean-Baptiste. Les riverains devaient supporter les nuisances, mais le petit chemin de fer était bien pratique pour se déplacer ! C'était le terminus. L'exploitation cessera en  1958 sur la section entre Monthyon et Meaux.
	La mairie, dans l'avenue du Général de Gaulle, avec les rails du petit chemin de fer qui passait devant.
	La halle au Blé, exposition de matériel agricole ancien. Le 4 mai 1775 on a pillé le blé à Dammartin, on forçait les propriétaires du blé à le vendre 12 livres le setier, au lieu de 37 livres. C'était la guerre des Farines qui troubla Paris et l'Ile-de-France après que Turgot ait prononcé la liberté du commerce des grains.
	La place des Fêtes et les promenades, dont l'aménagement avait été dessiné et planté par M. Lavollée, maire, ont été inaugurées solennellement le 2 décembre 1810, jour anniversaire de la bataille d'Austerlitz. Les tilleuls sont donc là depuis plus de deux siècles, ont-ils atteint cet âge ou ont-ils été replantés ? Lors de la construction du réservoir d'eau des fouilles archéologiques ont été réalisées. Elles ont découvert  des sépultures des XI et XII ème siècle, antérieures à la constructions du château vers 1467.
	La rue des Oulches, où il a fallu démolir un immeuble frappé d'un arrêté de péril imminent qui menaçait ruine.
	De ce côté s'étendaient un grand nombre de petits jardins aboutissant sur une rue qui a pris le nom de rue des Oulches. Le quartier des Oulches est sur une forte pente. Que sont devenus les jardins potagers d'antan ? La rue tire son nom d'un vieux mot celtique qui signifie petit jardin. Ce mot s'est continué dans le patois local.
	La rue de Meaux allait de la rue des Vieilles Boucheries à la place Lavollée. Que sont devenus les arbres d'alignement ?
	L'hôtel de la Grosse-Tête, sur la carte postale on voit encore l'enseigne. On y recevait les diligences et les voyageurs.
	La quartier de la Croix Blanche, d'où ce quartier peut il tirer son nom ? D'un calvaire situé au coin d'un chemin ? De plâtrières qui auraient existé anciennement  ? Dammartin est en effet située sur d'importants gisement de gypse d'où on tire le plâtre.
	La rue des Vieilles Boucheries est-elle le souvenir de boucheries qui étaient installées dans la rue ? La rue se termine par un escalier, comme souvent à Dammartin.
	La villa de Gesvres a hélas été rasée en 2013 pour laisser la place à un immeuble tout neuf, dont le charme n'est pas évident.  Cette bâtisse était occupée par M. de Gèvres, gouverneur de Paris, premier gentilhomme de la chambre du roi jusqu'en 1678. Mais les salles municipales situées à proximité immédiate ont pris son nom, les conseils municipaux s'y tiennent.
	Jusqu'en 1630, le château de la Thuilerie était habité par M. de Chesnelon, premier greffier du conseil du roi. Il y avait un manège pour les chevaux, une chapelle et la sépulture des châtelains. C'était un ancien fief. Il a pris son nom d'une fabrique de briques et de tuile qui existait autrefois.
	Un étang est dans le parc du château de la Tuilerie, il participe à la biodiversité des lieux.
	L'église Notre-Dame a été classée monument historique par arrêté du 27 mai 1939. Cette église abrite le gisant d'Antoine de Chabannes, mort en 1488.
Des compléments pourront être apportés à ces souvenirs en fonction de vos contributions et de nouveaux documents trouvés.
Il est possible de vous envoyer sur demande des agrandissements de ces cartes postales
Si vous avez des informations complémentaires ou des remarques sur cette page, comme sur le reste du site, merci de nous en faire part.	association-renard@orange.fr association R.E.N.A.R.D. 3 rue des Aulnes Le Bois Briard 77680 ROISSY-EN-BRIE 01 60 28 03 04
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